Pascal était un être profondément gentil, un bon vivant, un passionné. Mes pensées les plus douces vont à sa famille et particulièrement ses enfants et petits-enfants dont il était si fier.
Mon cher Pascal, tu es parti bien trop tôt, mais au final y a-t-il un âge idéal pour partir ?
Ta vie a été bien remplie et tu peux en être satisfait. Tu as connu l’amour et partagé ta vie pleinement. Tes enfants Hélène, Victor et Maxime en sont les témoins. Ils sont ta trace dans ce monde, une partie d’éternité. Tu peux en être fier, tes enfants sont à ton image, ce sont de belles personnes, j’ai pu le remarquer lorsque j’ai eu la chance de les rencontrer.
Ta vie professionnelle a également été une réussite. Ton dévouement pour ton métier n’est pas un secret, il a été un élément central de ta vie. Tu as aidé des milliers de patients durant cette carrière marathon de plus de 40 ans. De 7h du matin à 21h le soir, tu n’as jamais compté tes heures. De jeune kiné à ostéopathe tu n’as cessé de te former pour satisfaire le plus grand nombre. Ton éthique professionnelle, ton dévouement et ta soif de connaissance ont été un exemple pour moi. Tu es mon mentor et ton image, tes gestes, tes mains et ta voix resteront à jamais gravés en moi.
Que répondrais-tu à cette question ? Y a-t-il un moment idéal pour partir ? Ton côté épicurien nous dirait sûrement “LE PLUS TARD POSSIBLE” mais surtout le plus “PLEINEMENT” car ton goût des bonnes et belles choses est connu de tous.
Alors tu peux partir en paix, sans remord, sans regret, sans sentiment d’inachevé car la vie t’a comblée. Tu as gagné l’éternité en laissant derrière toi une partie de toi, à travers tes enfants, tes amours et tes patients.
Ta voix grave, suave et rassurante, celle qui trouve toujours les mots, résonnera toujours en moi. Elle continuera d’alimenter cette discussion intérieure qui ne se terminera jamais.
Nos très sincères codoléances aux enfants de Pascal, en souvenir d’une très belle personne, généreuse, enjouée et dont le rire sonore retenti encore à nos oreilles.
Immenses regrets de ne pas avoir pu profiter des derniers instants avec lui.
Avec toutes nos pensées.
Suzy et François
Les volets du RdC de l’immeuble ne s’ouvriront ni sur la rue, ni sur le jardin. Nous ne croiserons plus M. Dhennin et sa chaleur humaine. Nous voulions lui dire adieu et partager votre tristesse.
Pascal était un être profondément gentil, un bon vivant, un passionné. Mes pensées les plus douces vont à sa famille et particulièrement ses enfants et petits-enfants dont il était si fier.
Mon cher Pascal, tu es parti bien trop tôt, mais au final y a-t-il un âge idéal pour partir ?
Ta vie a été bien remplie et tu peux en être satisfait. Tu as connu l’amour et partagé ta vie pleinement. Tes enfants Hélène, Victor et Maxime en sont les témoins. Ils sont ta trace dans ce monde, une partie d’éternité. Tu peux en être fier, tes enfants sont à ton image, ce sont de belles personnes, j’ai pu le remarquer lorsque j’ai eu la chance de les rencontrer.
Ta vie professionnelle a également été une réussite. Ton dévouement pour ton métier n’est pas un secret, il a été un élément central de ta vie. Tu as aidé des milliers de patients durant cette carrière marathon de plus de 40 ans. De 7h du matin à 21h le soir, tu n’as jamais compté tes heures. De jeune kiné à ostéopathe tu n’as cessé de te former pour satisfaire le plus grand nombre. Ton éthique professionnelle, ton dévouement et ta soif de connaissance ont été un exemple pour moi. Tu es mon mentor et ton image, tes gestes, tes mains et ta voix resteront à jamais gravés en moi.
Que répondrais-tu à cette question ? Y a-t-il un moment idéal pour partir ? Ton côté épicurien nous dirait sûrement “LE PLUS TARD POSSIBLE” mais surtout le plus “PLEINEMENT” car ton goût des bonnes et belles choses est connu de tous.
Alors tu peux partir en paix, sans remord, sans regret, sans sentiment d’inachevé car la vie t’a comblée. Tu as gagné l’éternité en laissant derrière toi une partie de toi, à travers tes enfants, tes amours et tes patients.
Ta voix grave, suave et rassurante, celle qui trouve toujours les mots, résonnera toujours en moi. Elle continuera d’alimenter cette discussion intérieure qui ne se terminera jamais.
Merci Pascal.
Carlos Sendao
Nos très sincères codoléances aux enfants de Pascal, en souvenir d’une très belle personne, généreuse, enjouée et dont le rire sonore retenti encore à nos oreilles.
Immenses regrets de ne pas avoir pu profiter des derniers instants avec lui.
Avec toutes nos pensées.
Suzy et François
Les volets du RdC de l’immeuble ne s’ouvriront ni sur la rue, ni sur le jardin. Nous ne croiserons plus M. Dhennin et sa chaleur humaine. Nous voulions lui dire adieu et partager votre tristesse.